AvertissementUNIX n'est pas un système mais un ensemble de systèmes d'exploitation (Solaris, OSF, AIX, GNU/Linux, FreeBSD, NetBSd, MacOS X, ...). On trouvera donc, selon le cas, des commandes en plus, des commandes avec un nom légèrement différent, des variations dans la syntaxe ou les options,...
Exemples :
[Aa] désigne les caractères A ou
a
[a-zA-Z] désigne un caractère alphabétique quelconque.
Vous réduisez ainsi le nombre de fenêtres actives en même temps et donc la charge du micro-processeur et l'occupation de la mémoire.
Il faut toutefois être très prudent dans son utilisation; en effet, une application prévue pour tourner en tâche de fond est généralement multi-fenêtrée et comprend un menu contenant une case Quit ou Exit.
S'il s'agit d'un programme que vous avez écrit, il faut être certain qu'il ne boucle pas car alors vous n'avez plus d'autre possibilité que d'utiliser kill pour l'arrêter.
Par exemple, les fichiers de configuration (ou d'environnement) commencent par un . Environnement ).
Les noms de fichiers Unix sont limités à 255 caractères et les chemins absolus à 1024.Le . n'a pas la notion d'extension que l'on trouve, par exemple, sous Windows. Un nom de fichier peut d'ailleurs comporter plusieurs .
Pour spécifier un nom de fichier, il est possible de donner soit son chemin
relatif, soit son chemin absolu.
Le chemin absolu commence par la racine ,
notée / et indique le chemin à parcourir depuis celle-ci
jusqu'au répertoire ou fichier désiré.
Par exemple :
/export/home/etudiants/2000/licence/rbidocho/tp/tp1.f
est le chemin absolu jusqu'au fichier tp1.f,
lui-même contenu dans le sous-répertoire tp
de l'utilisateur rbidocho.
Le chemin relatif commence par un nom de fichier ou de répertoire, ou éventuellement par un des 3 caractères spéciaux du shell. : . .. ~
Par exemple, le fichier désigné précédemment par son chemin absolu peut également être désigné par son chemin relatif. En supposant que l'utilisateur rbidocho se trouve dans son répertoire d'accueil on peut désigner le fichier par :
tp/tp1.f
./tp/tp1.f
../rbidocho/tp/tp1.f
~/tp/tp1.f
Exemple :
grep blabla < essai : la chaîne blabla est
recherchée dans le fichier essai
Exemple :
ls > liste : le résultat de la commande
ls est copié dans le fichier
liste. Si le fichier n'existe pas, il est créé, sinon
son contenu est écrasé.
Exemple :
ls >> liste2 : si le fichier liste2 n'existe pas,
il est créé, sinon le résultat de la commande
ls est ajouté à la fin du fichier
liste2.
Exemple :
ls | grep *.c : la sortie de la commande
ls sert d'entrée à la commande
grep. Ici, on cherche tous les
fichiers sources C dans le répertoire courant.
On entend par-là les commandes intégrées dans le système et que l'on retrouve dans à peu près tous les Unix :Le format d'une commande Unix est généralement de la forme :
- SunOS et Solaris de Sun.
- AIX de IBM.
- IRIX de SGI.
- GNU/Linux
- FreeBSD, NetBSD, OpenBSD
- MacOS X.
commande [-option1] [-option2] [-optionn] [argument1] [argument2] [argumentn]...
Les options et arguments forment ce que l'on appelle les paramètres de la commande.Unix est sensible à la casse (anglais: case-sensitive), c'est à dire qu'il fait la différence entre une majuscule et une minuscule. Ainsi essai, Essai ou ESSAI désignent des fichiers différents.
Chaque commande est accompagnée d'une aide en ligne que l'on peut consulter à l'aide de la commande man qui décrit la syntaxe de la commande, ses options et présente le plus souvent des exemples facilitant la compréhension.
Voici ces commandes rangées par thèmes :