Lors de la phase de complétion, on peut compenser les retards dus aux instruments de mesure, via un paramètre alpha. La figure suivante donne la valeur à l'infinie en fonction de ce paramètre. La bonne valeur à l'infini est de l'ordre de 1, la bonne valeur de alpha est au voisinage de 0.5.
La figure suivante montre l'influence de alpha. On a choisi une valeur de lambda un peu trop grande, de sorte que l'approximation de degré infini soit discontinue aux bornes de l'intervalle (une grosse boucle en haus,une petite en bas).
Influence du paramètre beta. Ce paramètre tourne la figure. Dans le cas scalaire, il n'a aucune influence sur la précision du résultat. Dans le cas matriciel, il a cependant une grande influence. Dans la figure suivante, nous avons pris une valeur de référence de beta fixe pour la réflexion, et l'avons fait varier pour la transmission. La figure montre la valeur du citère aux ordres 6, 7, et 8. La valeur optimale est -1.2 pour l'ordre 8.
On peut utiliser la norme de Sobolev pour la complétion. Dans ce cas, la norme utilisée est la une moyenne pondérée entre la norme de la fonction, et la norme de la dérivée. Le coefficient de pondération est gamma. Plus gamma est grand, moins le résultat est discontinu aux bornes de l'intervalle. Sur la courbe suivante, on a choisi pour alpha la valeur 0.56 (courbe bleue claire sur le dessin).
Le paramètre M est la norme autorisée en dehors de l'intervalle de mesure. Ce paramètre est en relation avec lambda. Dans la figure suivante, gamma vaut 100, et alpha vaut 0.56. Notons que la bonne valeur de M n'est pas facile à déduire de ces dessins.