Certes, les différences de nombre et de longueur de sessions accentuent le caractère « monothématique » des sessions GR1. Mais au final, le résultat reste le même. Par exemple, 5 % des GR1 ayant émis des requêtes de type S en ont aussi émis de type L. Ce taux se monte à 15 % pour les GR0. Inversement, 4 % des GR1 ayant émis des requêtes L en ont émis de type S (et 8 % des GR0 ). Autrement dit, quand les GR0 prouvent leur capacité à témoigner de plusieurs centres d’intérêt, les GR1 n’ont, quant à eux, pas les moyens de tirer parti des ressources culturelles de l’internet.